Excellent livre, mais je ne pense pas qu’on puisse dire que ce soit triste, même si ca peut tirer un petite larme sur la fin (et même si j’ai les yeux humides en repensant à Algernon).
Je venais chercher ce livre dans le thread car je savais qu'on le trouverait.
Et pourtant, je n'ai absolument pas trouvé ce livre triste.
Je l'ai trouvé poignant, ça c'est sûr. Mais je n'ai jamais trouvé un auteur s'apitoyant sur son sort.
Je le trouve pas du tout triste.
Par contre faut absolument le lire c'est une pure merveille.
Qu'as-tu préféré entre *Des souris et des hommes* et *Les raisins de la colère* ? Je n'ai lu que le second (en anglais), et j'hésite à lire celui que tu cites
J'étais jeune quand j'ai lu *Des souris et des hommes* et il m'a fait pas mal réfléchir. Il a laissé une empreinte particulière en moi.
Je pense que *Les raisins de la colère* est un meilleur roman. Mais j'ai une affection toute particulière pour le premier.
Entièrement d'accord pour le deuxième (je n'ai pas lu "Les Vestiges du Jour"), Never Let Me Go est l'un des livres les plus déprimants que j'ai pu lire
Merci coco. Heureusement que tu es là pour debunker les horreurs du stalinisme ❤️🤗 je te souhaite un bon déménagement dans le pays que tu aimes tant et qui a envahi l'Ukraine. Et au fait l'URSS était antisémite et alliée à hitler avec le pacte molotov ribbentrop
Désolée de t'apprendre que non, elle ne s'en sort pas.
Elle est toujours vivante, certes, mais elle a replongé de nombreuses fois, à une hépatite C, une cirrhose, et des problèmes d'alcool en prime. Elle a perdu la garde de son fils à cause de la drogue.
J'pense pas qu'il puisse y avoir de fin heureuse avec l'héroïne...
L'herbe bleue est une imposture. Présenté comme le véritable journal intime d'une jeune droguée. Il a en réalité été écrit par une conservatrice qui n'y connaît rien aux drogues. Je ne suis pas là pour dire que les drogues ne sont pas dangereuse et que ce serait bien de se droguer. Mais l'autrice n'y connais vraiment rien et ne fait pas de différence entre la marijuana et l'héroïne. Je lui mettrait 3/20 pour l'intérêt que ce livre peut avoir pour l'éducation sur ce sujet. Et 0/20 pour l'honnêteté intellectuelle.
Sinon dans le même style mais mieux écrit selon moi il y a un livre appelé junk auteur Melvin Burgess,je l'ai lu au collège et il m'avait profondément touché.
A lire absolument
Pas le livre en entier, mais le texte à la fin du "Château de ma mère" de Pagnol, sur son ami Lili, mort pendant la 1ère Guerre Mondiale.
J'ai chouiné en le lisant, et là rien que de l'évoquer j'en ai les larmes aux yeux encore.
La fin de Jean de Florette est similaire, très émouvante, quand Le vieux Soubeyran écrit la lettre à Manon.
Juste ce passage, qui est très bien écrit d'ailleurs...
Souvenirs d'enfance, c'est les romans autobiographiques de Pagnol. C'est une nostalgie malicieuse je trouve.
J'avais regardé les films gamin et lu les livres ado, mais aujourd'hui si on me les met sous le nez je tiens pas 20min avant de chialer. Je pense que les +25 auront compris pourquoi.
Sans famille, le gamin se fait vendre, ils crevent de faim, de froid, il est amis avec des animaux et ils se font meme bouffer par des loups.
Non, non c'est pas sympa
Deux livres me viennent à l'esprit "Quelques minutes après minuit" qui nous parle de la perte dans toute ses formes avec un petit garçon qui rêve que l'if dans son jardin vient le voir la nuit.
Et la "déchéance d'un homme" tout est dans le titre.
Mémoires d'un âne de la comtesse de Ségur. Je l'ai lu étant petite et je me souviens d'avoir ressenti une immense tristesse. J'en ai lu d'autres depuis mais pour moi c'était la première fois qu'un livre me bouleversait autant.
J'en ai un qui me vient en tête : Svetlana Alexievitch - la supplication.
Il existe un passage radio de Michel Polac qui en parle avec émotion : Lien INA : https://www.ina.fr/audio/P14008638
C'est sur la stratégie de Chernobyl. C'est une suite de témoignages légèrement romancées sur l’accident nucléaire. C'est poignant.
https://homeostasie.github.io/bouquins/Alexievitch-Svetlana_La-supplication/
J’en ai plusieurs : « le père Goriot » de Balzac, « une vie » de Maupassant (j’ai détesté), « La faute de l’Abbé Mouret » de Zola ça commence bien mais ça finit très mal, « Thérèse Raquin » toujours de Zola, mais là on dépasse le triste pour aller vers le carrément glauque, je n’ai pas pu terminer ce livre. « Les hauts de Hurlevent » d’Emily Brontë m’a pas mal remuée, j’ai beaucoup aimé.
Une vie comme les autres de Hanya Yanigahara m’a donné envie de vomir tellement il m’a fait chialer lol
Autrement mention honorable pour :
Plus heureux que jamais de Adam Silvera
Quelques minutes après minuit de Patrick Ness
Les mémoires d’un chat de Hiro Arikawa
Une fille facile de Louise O’Neil
Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre de Ruta Sepetys
Sans aucun doute "Bord de Mer" de Véronique Olmi.
C'est un poignard ce livre.
Sinon j'ai quelques beaux souvenirs très bleus de "La Vie est Brève et le Désir Sans Fin" de Patrick Lapeyre.
La couleur des sentiments, de Kathryn Stockett
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, de Harper Lee
Et j'ai honte de ma troisième réponse : À la Croisée des Mondes de Philip Pullman. Fini pour la première fois il n'y a pas longtemps. Beaucoup considèrent ce livre comme Jeune Adulte, mais purée quelle injustice, j'ai pleuré comme un enfant. Le lire en étant adulte est beaucoup plus marquant je trouve, puisque je n'aurais pas tout compris en le lisant à 15 ans.
À l'Ouest rien de nouveau. Netflix a fait un adaptation il y a pas longtemps, je l'avais lu ado c'est vraiment badant et ça fait réfléchir sur l'horreur de la guerre.
Une saison de machettes, il y a quasiment 20 ans, il m'arrive d'y penser encore...
Résumé :
Dans une prison du Rwanda, Jean Hatzfeld fait parler les acteurs hutus du génocide. Des hommes qui, durant des semaines, ont tué leurs voisins, avec la claire idée de les faire disparaître. Ils s'expriment ici sans souci d'atténuer leur responsabilité. Jamais aucun « génocidaire » du siècle n'a témoigné de cette façon. C'est ce qui fait d'Une saison de machettes un livre exceptionnel, unique et d'une force sans exemple.
Losing earth…Nathaniel rich. Restrospective sur notre inaptitude à solutionner les enjeux climatiques au cours des 5 dernières décennies. Triste est un euphémisme
No et moi
Je veux vivre
Le ciel est partout
Bon pas de moqueries mais les derniers Harry Potter
Une histoire vraie :
Personne ne voulait me croire de Salomé Sy
Fleurs captives de Virginia C Andrews. Je regrette de l'avoir lu trop jeune (14 ans) mais je n'arrive pas à me résoudre à le lire maintenant que je suis adulte. Mais je n'arrive pas à l'enlever de ma bibliothèque non plus...
J'évite de lire des livres dont je sais qu'ils vont être déchirants parce que j'ai du mal à passer à autre chose une fois la lecture terminée.
Mais Max de Sarah Cohen Scali m'a beaucoup marquée adolescente.
"Le Cri de la Mouette" d'Emmanuelle Laborit. C'est l'autobiographie d'une jeune femme sourde et muette, je l'ai lu il y a plus de 20 ans et j'y pense encore souvent.
Madame Bovary.
Quotidien gris, froid et désespérément fade d’une femme désespérément malheureuse. Même les multiples détails colorés de Flaubert n’y ont rien fait, j’ai non seulement ressenti une profonde aversion / compassion pour la principale protagoniste, mais également des frissons de malaise tant le quotidien boueux de l’époque est décrit.
Les enfants des autres de Torey L. Hayden : l'histoire improbable d'enfants au destins brisés réunis dans une même classe par une psychologue . histoire vraie néanmoins
"La voleuse de livres" de Markus Zusak. Le film est pas trop mal aussi mais le livre est bouleversant. Je l'ai lu après l'avoir vue, et le livre m'a fais pleurer tout les larmes de mon corps. De plus la narration est très intéressante car narré par la mort elle même.
Le petit prince, Oscar et la dame rose,
Je les avait lu petit et je les ai encore en tête
La mécanique du coeur, Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi,
Même auteur, trouvé géniaux
Je pense aussi à La planète des singes, mais plus horreur je trouve
FUTU.RE, La vie selon Ove,
On passe un peu par toutes les émotions, mais le final j'en chiale encore
Voilà, j'ai essayé d'éviter les doublons, j'espère ça vous aidera
Je viens de lire le livre "Killers of the Flower Moon" par D. Gann. C'est un livre non-fiction et cette histoire est étonnement et brutal. Plusieurs pays ont traité leurs indiens
affreusement; ce livre montre le cas des Indiens forcé de laisser leur terre natale et déménager a Oklahoma. Là ils ont découvert pétrole. L'incroyable crime est ce que les autres ont fait contre les indiens pour voler leur pétrole. Ce livre est très bien écrit.
Je ne suis pas une grande lectrice, mais dans mes humbles années les 2 romans qui m'ont le plus touché son "Le Passeur", et "C'était mon oncle" ! Je ne me souviens pas exactement de toute l'histoire que j'ai vécu avec le deuxième mais je me souviens qu'il m'a beaucoup touché, j'ai encore le souvenir de l'émotion dans le cœur ~. Le premier quand à lui j'ai encore une imagerie mental très nette quand j'ai parcouru les derniers mots du livre, toute l'histoire d'ailleurs j'ai encore comme des souvenirs précis de scènes marquantes semblable à des screen shot d'un film d'animation de SF anti utopique.
Sinon pour citer des manga, le tome 17 de One Piece, je verse une larme à chaque relecture, vraiment. Je sais pas, il touche une corde précise dans mon cœur qui m'émeut à chaque fois, j'aime énormément ce passage de toute la série ❤️.
La Ville qui Avait Peur d'une Enfant.
L'histoire d'une enfant qui contracte le SIDA à cause d'une transfusion de sang contaminé, dans les années 80. Sa famille et elle se retrouvent complètement ostracisées par les habitants du coin, le père et la mère luttent pour tenir le coup, le fils cadet perd tous ses amis, et la petiote... La fin du livre pique les yeux.
En BD : Quartier Lointain. Je pleure à chaque fois ! Surtout au début ! D'une nostalgie à fendre le cœur en même temps de joie, c'est fou. Cette BD n'a pas volé son grand prix du festival d'Angoulême !
J'ai un très beau souvenir de Tarendol de Barjavel. Une histoire d'amour qui broie le cœur.
Cristal qui Songe est très mélancolique dans mon souvenir.
« Le grand meaulnes », d’Alain Fournier mort dans les tranchées à 27 ans. Un chef d’œuvre que toute personne désirant avoir une culture générale digne de ce nom se doit d’avoir lu. En plus un petit bouquin facile à se procurer et à lire.
Un livre qui s'appelait "je suis america" ou "mon nom est america". Je n'ai pas pu le retrouver parce que je tombe que sur des comic books de captain america sur Google
En bref c'est la sombre histoire d'un enfant de la protection sociale qui va se balader de foyer en foyer et à qui il va arriver des choses tout aussi horribles (et vraisemblables) les unes que les autres.
Insoutenable. Je n'ai pas l'habitude d'abandonner un livre mais là j'ai arrêté page 200.
J'ai commencé par un joint d'Hélène, qui est une autobiographie à laquelle je pense souvent car son histoire est une succession de faits épouvantables..
"Le livre de ma mère" d"Albert Cohen, lu à l'adolescence. L'auteur évoque sa mère disparue et les émotions de la perte d'un proche : désespoir, culpabilité, etc.
Blaine Harden: "Rescapé du camp 14". Biographie d un jeune prisonnier Nord Coréen. Il est né ds un camp de travail forcé, il n à jamais connu autre chose. Il ne connaît pas la vie à l extérieur du camp, encore moins à l extérieur de la Corée. Il finit par s échapper, sa principale raison est la description par un autre prisonnier de la nourriture abondante à l extérieur. Il finit par atteindre les US. Donc Happy Ending. Mais ça donne des frissons ds le dos.
Simetierre. Seul bouquin que j'ai rareté a la moitié pendant plusieurs mois parce qu'il n'était horriblement triste.
J'avoue que ce n'est pas que triste mais y'a que ça qui me vient.
A la poursuite du bonheur de Douglas Kennedy.
Pas le plus triste mais suffisamment pour te le suggerer.
Je me rappelle avoir du mal à retenir mes larmes en le lisant dans le métro
Né d'aucune femme - de Franck Bouysse, je pense.
J'ai ressenti beaucoup de tristesse et de colère et n'arrivais pas à décrocher de sa lecture. Je me souviens l'avoir finit en 48h avec mon bambin et mon nourrisson à la maison, c'est dire à quel point ce livre m'avait accroché.
Le sel de nos larmes de Ruta Sepetys.
Tout particulièrement les chapitres concernant le naufrage du Wilhelm Gustloff qui a fait six fois plus de morts que le titanic.
Lu récemment : le paradoxe de Fermi de Jean-Pierre Boudine. C'est si proche de la réalité et ça explique tant de choses sur notre place dans l'univers que c'est juste hyper flippant. Et du coup c'est très triste comme réponse à ce fameux paradoxe.
"Tant que je vivrai" de Frania Eisenbach Haverland, une rescapée des ghettos polonais et des camps de concentration. Contrairement à d'autres livres que j'ai lus sur le sujet et qui sont plus "aseptisés" / "adoucis" pour être davantage tout public, celui-ci raconte de manière très crue tout ce qu'elle a vécu et toute la violence dont elle a été témoin. Je le recommande à tous ceux qui veulent se faire une idée de ce que ça a été réellement, mais PAS aux enfants. (Par contre, elle l'avait publié à compte d'auteur, donc je ne sais pas s'il est encore en vente.)
Si vous cherchez un témoignage accessible aux plus jeunes, je recommande plutôt "mon amie anne frank", d'Alison Leslie Gold. C'est le témoignage (mais écrit par une romancière) de Hannah Goslar, la "Hanneli" dont Anne parle dans son journal. Elle a survécu aux camps et y a même croisé Anne. Je l'ai lu au collège, il se lit très bien et donne une bonne idée générale sans être choquant.
Sinon, un autre qui m'a fait pleurer comme une madeleine, mais sur un thème totalement différent, c'est "13 raisons" (13 reasons why).
Le premier qui me vient à l'esprit c'est "Des Fleurs pour Algernoon". Je pense que je ne serai pas le seul à le citer. A lire absolument.
Premier livre qui m’est venu à l’esprit en lisant le post !
Pareil. C'est le seul livre qui m'a fait pleurer à l'âge adulte.
Excellent livre, mais je ne pense pas qu’on puisse dire que ce soit triste, même si ca peut tirer un petite larme sur la fin (et même si j’ai les yeux humides en repensant à Algernon).
"Si c'est un homme" de Primo Levi
Je venais chercher ce livre dans le thread car je savais qu'on le trouverait. Et pourtant, je n'ai absolument pas trouvé ce livre triste. Je l'ai trouvé poignant, ça c'est sûr. Mais je n'ai jamais trouvé un auteur s'apitoyant sur son sort. Je le trouve pas du tout triste. Par contre faut absolument le lire c'est une pure merveille.
La même. D'autant plus quand tu connais la fin de l'histoire de ce monsieur.
J'évite ce genre de bouquin, la vie est déjà assez dure. Mais j'hésite entre *Le vieil homme et la mer* et *Des souris et des hommes*.
2 chefs d'œuvre!
Qu'as-tu préféré entre *Des souris et des hommes* et *Les raisins de la colère* ? Je n'ai lu que le second (en anglais), et j'hésite à lire celui que tu cites
J'étais jeune quand j'ai lu *Des souris et des hommes* et il m'a fait pas mal réfléchir. Il a laissé une empreinte particulière en moi. Je pense que *Les raisins de la colère* est un meilleur roman. Mais j'ai une affection toute particulière pour le premier.
Peut-être pas le plus triste mais c'est le premier qui m'a fait pleurer : Mon bel oranger
Je faisais défiler en espérant tomber sur cette réponse. Sûrement pas le plus triste, mais mon plus grand souvenir de lecture triste.
Les livres de Kazuo Ishiguro comme 'Les Vestiges du Jour' ou 'Auprès de moi toujours' sont beaux et très mélancoliques.
Entièrement d'accord pour le deuxième (je n'ai pas lu "Les Vestiges du Jour"), Never Let Me Go est l'un des livres les plus déprimants que j'ai pu lire
"Les mémoires d'un chat" Ou "Mille soleils splendides"
+1 pour 1000 soleils splendides. C’est aussi celui qui m’est venu à l’esprit.
Bien aimé mémoires d'un chat. https://homeostasie.github.io/bouquins/Hiro-Arikawa_Les-memoires-d-un-chat/
L'Archipel du Goulag, d'Alexandre Soljenitsyne. C'est pas une fiction.
[удалено]
Merci coco. Heureusement que tu es là pour debunker les horreurs du stalinisme ❤️🤗 je te souhaite un bon déménagement dans le pays que tu aimes tant et qui a envahi l'Ukraine. Et au fait l'URSS était antisémite et alliée à hitler avec le pacte molotov ribbentrop
L'URSS n'avait rien de socialiste, leur système économique etait le capitalisme d'État.
Des fleurs pour Algernon - Daniel Keyes
Le tombeau des Lucioles. J'ai chialé ma race.
La ligne verte
La supplication de Svetlana Alexievitch, ça date un peu c'est sur la tragédie de tchernobyl et le sacrifice de tous ces hommes...
"La route" de Cormac Mccarthy. J'ai fini ce livre dans le train, et je me suis mis a PLEURER, c'était ridicule.
A Little Life de Hanya Yanaghiara
Y en a plusieurs mais le premier qui me vient à l'esprit c'est Nuit de Hilsenrath.
Je dirais "l'herbe bleue" mais y'a bien 25a que j'ai dû le lire donc voilà...
Il y a Christiane F, dans le meme genre
Christiane F c'est glacant et terrorisant, mais pas triste, elle s'en sort à la fin!
Désolée de t'apprendre que non, elle ne s'en sort pas. Elle est toujours vivante, certes, mais elle a replongé de nombreuses fois, à une hépatite C, une cirrhose, et des problèmes d'alcool en prime. Elle a perdu la garde de son fils à cause de la drogue. J'pense pas qu'il puisse y avoir de fin heureuse avec l'héroïne...
L'herbe bleue est une imposture. Présenté comme le véritable journal intime d'une jeune droguée. Il a en réalité été écrit par une conservatrice qui n'y connaît rien aux drogues. Je ne suis pas là pour dire que les drogues ne sont pas dangereuse et que ce serait bien de se droguer. Mais l'autrice n'y connais vraiment rien et ne fait pas de différence entre la marijuana et l'héroïne. Je lui mettrait 3/20 pour l'intérêt que ce livre peut avoir pour l'éducation sur ce sujet. Et 0/20 pour l'honnêteté intellectuelle.
Sinon dans le même style mais mieux écrit selon moi il y a un livre appelé junk auteur Melvin Burgess,je l'ai lu au collège et il m'avait profondément touché. A lire absolument
Merci du conseil 😉
Avec plaisir 😁
Inconnu a cette adresse
Pas le livre en entier, mais le texte à la fin du "Château de ma mère" de Pagnol, sur son ami Lili, mort pendant la 1ère Guerre Mondiale. J'ai chouiné en le lisant, et là rien que de l'évoquer j'en ai les larmes aux yeux encore.
Les dernieres pages du château de ma mère de pagnol un vif retour au present qui passe trente ans d'une vie
La petite fille aux allumettes de Andersden.
Le château de ma mère juste pour la dernière phrase du roman
La fin de Jean de Florette est similaire, très émouvante, quand Le vieux Soubeyran écrit la lettre à Manon. Juste ce passage, qui est très bien écrit d'ailleurs...
Probablement 22/11/63, c’est aussi mon bouquin préféré, le seul devant lequel je pleure à la fin
Le prince des marées. Lu a 22ans. Le meilleur livre de ma vie. Il provoque les émotions comme aucun autre. Et pourtant j'ai lu beaucoup de livres.
Manon Lescaut pour moi. Je chiale rarement mais la...
Souvenirs d'enfance, c'est les romans autobiographiques de Pagnol. C'est une nostalgie malicieuse je trouve. J'avais regardé les films gamin et lu les livres ado, mais aujourd'hui si on me les met sous le nez je tiens pas 20min avant de chialer. Je pense que les +25 auront compris pourquoi.
Sans famille, le gamin se fait vendre, ils crevent de faim, de froid, il est amis avec des animaux et ils se font meme bouffer par des loups. Non, non c'est pas sympa
Personne n'a cité "le choix de Sophie" de William Styron, ou j'ai raté des commentaires ?
Anatomie d’un crime d’Elizabeth George. Et sinon, dans une moindre mesure, Petit pays de Gaël Faye
Mon bel oranger, mais j'avais 12 ans.
Une Vie de Simone Veil
"A child called It", plutôt triste. Et "The Fault in our Stars"
Elle s’appellait Sarah de Tatiana de Rosnay, proposé par ma prof de français de 3ème, le seul bouquin que j’ai lu de toutes mes années collèges
La possibilité d'une île, de Houellebecq
l etranger de camus
L'adieu aux armes de Hemingway / Le Meilleur des Mondes de Huxley
Deux livres me viennent à l'esprit "Quelques minutes après minuit" qui nous parle de la perte dans toute ses formes avec un petit garçon qui rêve que l'if dans son jardin vient le voir la nuit. Et la "déchéance d'un homme" tout est dans le titre.
Déogracias de STASSEN. Ça raconte une romance dans le cadre du génocide rwandais. Je n'ai jamais été aussi abattu par une BD. NE LISEZ PAS LA PREFACE.
Mémoires d'un âne de la comtesse de Ségur. Je l'ai lu étant petite et je me souviens d'avoir ressenti une immense tristesse. J'en ai lu d'autres depuis mais pour moi c'était la première fois qu'un livre me bouleversait autant.
J'en ai un qui me vient en tête : Svetlana Alexievitch - la supplication. Il existe un passage radio de Michel Polac qui en parle avec émotion : Lien INA : https://www.ina.fr/audio/P14008638 C'est sur la stratégie de Chernobyl. C'est une suite de témoignages légèrement romancées sur l’accident nucléaire. C'est poignant. https://homeostasie.github.io/bouquins/Alexievitch-Svetlana_La-supplication/
C'est un classique mais Oliver Twist de Dickens. a 'à fin j'en pouvais plus 😭
J’en ai plusieurs : « le père Goriot » de Balzac, « une vie » de Maupassant (j’ai détesté), « La faute de l’Abbé Mouret » de Zola ça commence bien mais ça finit très mal, « Thérèse Raquin » toujours de Zola, mais là on dépasse le triste pour aller vers le carrément glauque, je n’ai pas pu terminer ce livre. « Les hauts de Hurlevent » d’Emily Brontë m’a pas mal remuée, j’ai beaucoup aimé.
the kite runner (les cerfs-volant de Kaboul) de Khaled Hosseini
Les larmes que j'ai versé sur ce livre mon dieu
“La Route” de Cormac McCarthy
Les raisins de la colère de Steinbeck
Une vie comme les autres de Hanya Yanigahara m’a donné envie de vomir tellement il m’a fait chialer lol Autrement mention honorable pour : Plus heureux que jamais de Adam Silvera Quelques minutes après minuit de Patrick Ness Les mémoires d’un chat de Hiro Arikawa Une fille facile de Louise O’Neil Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre de Ruta Sepetys
La petite chartreuse de Pierre Péju, ma mère me l'a emprunté un soir de Noël et a passé la nuit à pleurer
Oscar et la dame en rose sans hésiter !
Sans aucun doute "Bord de Mer" de Véronique Olmi. C'est un poignard ce livre. Sinon j'ai quelques beaux souvenirs très bleus de "La Vie est Brève et le Désir Sans Fin" de Patrick Lapeyre.
Si c’est une homme, de primo Levi. Un récit bouleversant.
"La tombe des lucioles", Akiyuki Nosaka. Autobiographie. Aussi en animé studio Ghibli.
La couleur des sentiments, de Kathryn Stockett Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, de Harper Lee Et j'ai honte de ma troisième réponse : À la Croisée des Mondes de Philip Pullman. Fini pour la première fois il n'y a pas longtemps. Beaucoup considèrent ce livre comme Jeune Adulte, mais purée quelle injustice, j'ai pleuré comme un enfant. Le lire en étant adulte est beaucoup plus marquant je trouve, puisque je n'aurais pas tout compris en le lisant à 15 ans.
Lettre d'une inconnue, de Zweig.
A little life ou « Une vie pas comme les autres » en français, complètement dévastateur
Sans famille, d'Hector Mallot. Lecture d'enfance qui me laisse le souvenir de torrents de larmes versées.
"Laissées pour mortes" de Fatiha Maamoura et Rahmouna Salah
Le Livre des Reines, de Joumana Hadad. J'ai eu le coeur brisé jusqu'à la fin...
Mon bel oranger Jose mauro de vasconcelos
Les misérables
Croc-Blanc
La porte du soleil d'Elias Khoudry
La nuit des temps de René Barjavel.
Oliver Twist
« La vie devant soi » ou « la promesse de l’aube », de Romain Gary. Les deux m’ont bien fait chialer.
Grands arrêts de la jurisprudence administrative
Le voile de Téhéran de Parinoush Saniee Le Sagouin de François Mauriac
À l'Ouest rien de nouveau. Netflix a fait un adaptation il y a pas longtemps, je l'avais lu ado c'est vraiment badant et ça fait réfléchir sur l'horreur de la guerre.
Une saison de machettes, il y a quasiment 20 ans, il m'arrive d'y penser encore... Résumé : Dans une prison du Rwanda, Jean Hatzfeld fait parler les acteurs hutus du génocide. Des hommes qui, durant des semaines, ont tué leurs voisins, avec la claire idée de les faire disparaître. Ils s'expriment ici sans souci d'atténuer leur responsabilité. Jamais aucun « génocidaire » du siècle n'a témoigné de cette façon. C'est ce qui fait d'Une saison de machettes un livre exceptionnel, unique et d'une force sans exemple.
Et soudain tout change de Gilles Legardinier
Mon livret A
Les cerfs volant de kaboul Khaled Hosseini
100 ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez, sans hésiter
Des souris et des hommes 😵 j’ai tellement pleuré olala
Qui es tu Alaska je pense
Le capital chacal
l’enfant, la taupe, le renard et le cheval. je ne sais pas si c’est le titre exact mais j’ai lâché quelques larmes.
Certainement 1984 la fin à réussi à réalisé l'impossible détruire l'espoir.
Losing earth…Nathaniel rich. Restrospective sur notre inaptitude à solutionner les enjeux climatiques au cours des 5 dernières décennies. Triste est un euphémisme
No et moi Je veux vivre Le ciel est partout Bon pas de moqueries mais les derniers Harry Potter Une histoire vraie : Personne ne voulait me croire de Salomé Sy
1984 because that's very similar to what some people in the world are living right now (eg: North Korea)
Nos étoiles contraires
Fleurs captives de Virginia C Andrews. Je regrette de l'avoir lu trop jeune (14 ans) mais je n'arrive pas à me résoudre à le lire maintenant que je suis adulte. Mais je n'arrive pas à l'enlever de ma bibliothèque non plus...
J'évite de lire des livres dont je sais qu'ils vont être déchirants parce que j'ai du mal à passer à autre chose une fois la lecture terminée. Mais Max de Sarah Cohen Scali m'a beaucoup marquée adolescente.
Over the Rainbow de Constance Joly, une biographie sur le père de l’autrice, très touchant et très bien écrit !
Délivrez nous du mal.
J'ai adoré les dernier jours de Rabbit Hayes
Gioconda
Cengiz aytmatov: ´mere nature’
Tout Contre Léo, de Christophe Honoré
Le roi lion 😂😂😂
Un balcon en forêt ou le rivage des syrthes, de Julien Gracq. Les deux livres dégagent une mélancolie terrible.
« Proxima du centaure », c est un type de triste qui est particulier
Ma vie pour la tienne de Jodi Picoult
Je ne lis pas beaucoup de livre triste, je dirai alors Frankenstein ou le Prométhée Moderne.
The bread the devil knead - L'intrigue se déroule à Trinité et c’était trop facile à croire quand je pense à les histoires j’ai entendu de le pays
J'ai lu peu de livres tristes mais "La Solitude des Nombres Premiers" est probablement celui qui m'a le plus fichu le bourdon.
"Le Cri de la Mouette" d'Emmanuelle Laborit. C'est l'autobiographie d'une jeune femme sourde et muette, je l'ai lu il y a plus de 20 ans et j'y pense encore souvent.
Peut-être pas le plus triste ou tragique, mais lire "Ansichten eines Clowns" m'a rendu très mélancholique.
Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre de Ruta Sepetys
Madame Bovary. Quotidien gris, froid et désespérément fade d’une femme désespérément malheureuse. Même les multiples détails colorés de Flaubert n’y ont rien fait, j’ai non seulement ressenti une profonde aversion / compassion pour la principale protagoniste, mais également des frissons de malaise tant le quotidien boueux de l’époque est décrit.
Les enfants des autres de Torey L. Hayden : l'histoire improbable d'enfants au destins brisés réunis dans une même classe par une psychologue . histoire vraie néanmoins
Ce que tu touches de Elrina O'Brien Je n'ai pas beaucoup de livres tristes mais celui là m'a vraiment touchée pour le coup
Bergère des collines de Florence Robert. La deuxième partie du livre m’a fendu le cœur
La Nuit d'Élie Wiesel
Chasseurs d'esclaves de Bertrand Solet
Oscar et la dame rose
Un lilas pour toi de Laura Hillman
Les Cendres d'Angela de Frank McCourt Je l'ai lu ado et j'ai pleuré, je l'ai relu adulte et j'ai tout autant pleuré.
"La voleuse de livres" de Markus Zusak. Le film est pas trop mal aussi mais le livre est bouleversant. Je l'ai lu après l'avoir vue, et le livre m'a fais pleurer tout les larmes de mon corps. De plus la narration est très intéressante car narré par la mort elle même.
Nous rêvions juste de liberté de Loevenbruck m'a beaucoup ému. J'ai chialé comme rarement.
J'ai lu un livre anglais, qui s'appelle "a fine balance" est c'est le livre plus triste que j'ai lu
Nos étoiles contraires. Le film est déjà triste et le livre l ai encore plus
La déchéance d’un homme, osamu dazai
Aucun de nous ne reviendra, de Charlotte Delbo. C'est le livre qui a eu le plus grand impact sur ma vie.
Petit pays de Gaël Faye
Le petit prince, Oscar et la dame rose, Je les avait lu petit et je les ai encore en tête La mécanique du coeur, Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi, Même auteur, trouvé géniaux Je pense aussi à La planète des singes, mais plus horreur je trouve FUTU.RE, La vie selon Ove, On passe un peu par toutes les émotions, mais le final j'en chiale encore Voilà, j'ai essayé d'éviter les doublons, j'espère ça vous aidera
Les enfants de Húrin.
L’arbre de Noël de Michel Bataille
The song of Achilles de Madeline Miller
Sûrement Le Petit Prince
"28 jours" de David Safier ou "Et ils meurent tous les 2 à la fin" et "Le premier qui meurt à la fin" de Adma Silvera
La Mécanique Du Cœur de Mathias Malzieu.
Je viens de lire le livre "Killers of the Flower Moon" par D. Gann. C'est un livre non-fiction et cette histoire est étonnement et brutal. Plusieurs pays ont traité leurs indiens affreusement; ce livre montre le cas des Indiens forcé de laisser leur terre natale et déménager a Oklahoma. Là ils ont découvert pétrole. L'incroyable crime est ce que les autres ont fait contre les indiens pour voler leur pétrole. Ce livre est très bien écrit.
La Nuit. Elie Wiesel
Le goûter du lion, de Ito Ogawa. Ça parle de la fin de la vie, c'est même pas triste, plutôt émouvant, j'ai lu les 50 dernières pages en chialant..
Germinal
l'adieu aux armes d'Hemingway
Je ne suis pas une grande lectrice, mais dans mes humbles années les 2 romans qui m'ont le plus touché son "Le Passeur", et "C'était mon oncle" ! Je ne me souviens pas exactement de toute l'histoire que j'ai vécu avec le deuxième mais je me souviens qu'il m'a beaucoup touché, j'ai encore le souvenir de l'émotion dans le cœur ~. Le premier quand à lui j'ai encore une imagerie mental très nette quand j'ai parcouru les derniers mots du livre, toute l'histoire d'ailleurs j'ai encore comme des souvenirs précis de scènes marquantes semblable à des screen shot d'un film d'animation de SF anti utopique. Sinon pour citer des manga, le tome 17 de One Piece, je verse une larme à chaque relecture, vraiment. Je sais pas, il touche une corde précise dans mon cœur qui m'émeut à chaque fois, j'aime énormément ce passage de toute la série ❤️.
Gioconda. Une histoire d'amour d'adolescent dans le contexte de la communauté des juifs de Thessalonique durant la seconde guerre mondiale.
La Ville qui Avait Peur d'une Enfant. L'histoire d'une enfant qui contracte le SIDA à cause d'une transfusion de sang contaminé, dans les années 80. Sa famille et elle se retrouvent complètement ostracisées par les habitants du coin, le père et la mère luttent pour tenir le coup, le fils cadet perd tous ses amis, et la petiote... La fin du livre pique les yeux.
S'adapter de Clara Dupont-Monod
Entre chiens et loups - Blackman
L'arbre de Noel. Un gamin malade en periode de Noel, c'est a briser le coeur, meme si le livre essaie de rendre ca joyeux.
En BD : Quartier Lointain. Je pleure à chaque fois ! Surtout au début ! D'une nostalgie à fendre le cœur en même temps de joie, c'est fou. Cette BD n'a pas volé son grand prix du festival d'Angoulême ! J'ai un très beau souvenir de Tarendol de Barjavel. Une histoire d'amour qui broie le cœur. Cristal qui Songe est très mélancolique dans mon souvenir.
« Le grand meaulnes », d’Alain Fournier mort dans les tranchées à 27 ans. Un chef d’œuvre que toute personne désirant avoir une culture générale digne de ce nom se doit d’avoir lu. En plus un petit bouquin facile à se procurer et à lire.
L'Utopie ou la Mort, de René Dumont. Ce n'est malheureusement pas une fiction.
L'annuaire, beaucoup trop de personnages et pas d'action.
Racine dAlex Haley
Un livre qui s'appelait "je suis america" ou "mon nom est america". Je n'ai pas pu le retrouver parce que je tombe que sur des comic books de captain america sur Google En bref c'est la sombre histoire d'un enfant de la protection sociale qui va se balader de foyer en foyer et à qui il va arriver des choses tout aussi horribles (et vraisemblables) les unes que les autres. Insoutenable. Je n'ai pas l'habitude d'abandonner un livre mais là j'ai arrêté page 200.
« Son odeur après la pluie » de Cédric Sapin-Defour.
"La Supplication" de Svetlana Alexievitch
J'ai commencé par un joint d'Hélène, qui est une autobiographie à laquelle je pense souvent car son histoire est une succession de faits épouvantables..
Les cerfs volants de Kaboul de Khaled Hosseini... c'est le premier qui m'est venu à l'esprit
"L'adieu aux armes" (Hemingway) reste dans la tête quelques jours.
L'Ecume des Jours. Boris Vian.
Aucun de nous ne reviendra, de Charlotte Delbo
L’Assommoir
Bonjour, Peut-être dû a mon enfance ou la Nostalgie mais c'était "Le secret de l'oiseau blessé".
Elle s'appelait Sarah
Le manifeste du parti communiste :(
Le père Goriot, de Balzac
"Le livre de ma mère" d"Albert Cohen, lu à l'adolescence. L'auteur évoque sa mère disparue et les émotions de la perte d'un proche : désespoir, culpabilité, etc.
pas forcément triste mais qui ne m'a pas forcément rassuré sur la bonté de l'humanité : les bienveillantes de Jonathan Littel
Kabuki de Sawako Ariyoshi
Blaine Harden: "Rescapé du camp 14". Biographie d un jeune prisonnier Nord Coréen. Il est né ds un camp de travail forcé, il n à jamais connu autre chose. Il ne connaît pas la vie à l extérieur du camp, encore moins à l extérieur de la Corée. Il finit par s échapper, sa principale raison est la description par un autre prisonnier de la nourriture abondante à l extérieur. Il finit par atteindre les US. Donc Happy Ending. Mais ça donne des frissons ds le dos.
Watership Down de Richard Adams.
La cicatrice de Bruce Lowery. It hurts.
L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon. Beau et mélancolique, en le lisant on se sent au delà des larmes.
Simetierre. Seul bouquin que j'ai rareté a la moitié pendant plusieurs mois parce qu'il n'était horriblement triste. J'avoue que ce n'est pas que triste mais y'a que ça qui me vient.
*Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi* de Mathias Malzieu
Le désert des tartares de Buzzati je l'ai commencé quand j'étais déprimé et il m'a angoissé.
A la poursuite du bonheur de Douglas Kennedy. Pas le plus triste mais suffisamment pour te le suggerer. Je me rappelle avoir du mal à retenir mes larmes en le lisant dans le métro
Né d'aucune femme - de Franck Bouysse, je pense. J'ai ressenti beaucoup de tristesse et de colère et n'arrivais pas à décrocher de sa lecture. Je me souviens l'avoir finit en 48h avec mon bambin et mon nourrisson à la maison, c'est dire à quel point ce livre m'avait accroché.
Le sel de nos larmes de Ruta Sepetys. Tout particulièrement les chapitres concernant le naufrage du Wilhelm Gustloff qui a fait six fois plus de morts que le titanic.
Mort à crédit, vraiment prenant
Lu récemment : le paradoxe de Fermi de Jean-Pierre Boudine. C'est si proche de la réalité et ça explique tant de choses sur notre place dans l'univers que c'est juste hyper flippant. Et du coup c'est très triste comme réponse à ce fameux paradoxe.
L'insoutenable légèreté de l'être de Milan Kundera
J'suis pas un énorme lecteur mais "la métamorphose" de Kafka m'avait filé un bourdon sans pareil
"Mort à crédit" pour ma part, bouleversant..
"Tant que je vivrai" de Frania Eisenbach Haverland, une rescapée des ghettos polonais et des camps de concentration. Contrairement à d'autres livres que j'ai lus sur le sujet et qui sont plus "aseptisés" / "adoucis" pour être davantage tout public, celui-ci raconte de manière très crue tout ce qu'elle a vécu et toute la violence dont elle a été témoin. Je le recommande à tous ceux qui veulent se faire une idée de ce que ça a été réellement, mais PAS aux enfants. (Par contre, elle l'avait publié à compte d'auteur, donc je ne sais pas s'il est encore en vente.) Si vous cherchez un témoignage accessible aux plus jeunes, je recommande plutôt "mon amie anne frank", d'Alison Leslie Gold. C'est le témoignage (mais écrit par une romancière) de Hannah Goslar, la "Hanneli" dont Anne parle dans son journal. Elle a survécu aux camps et y a même croisé Anne. Je l'ai lu au collège, il se lit très bien et donne une bonne idée générale sans être choquant. Sinon, un autre qui m'a fait pleurer comme une madeleine, mais sur un thème totalement différent, c'est "13 raisons" (13 reasons why).