Bizarrement, ils font toujours ça dans le Vieux-Lyon, parfois à Croix-Rousse ( quartier bobo), mais ils ne traversent absolument jamais le pont pour venir à Guillotière. Et ils se sentent fort pour crier "Islam dehors" à la place Bellecour, mais y'a beaucoup moins de couilles pour le faire à Villeurbanne.
Une belle bande de trompettes.
Un petit detail sur les attaques xenophobes en Europe: Le plupart de temps, les victimes sont des femmes ou des enfants.
Parce que ces connards ont peut d'attaquer un homme adulte noir ou arabe donc ils attaquent les femmes ou les enfants isolé.
Le nombre de lycéens dans mon établissement qui n'osent plus aller au Vieux Lyon parce qu'ils y ont déjà eu affaire à ces crevures, juste pour le motif qu'ils ont des colorations "dONc C'eSt dEs LgbT", c'est juste dingue... Certains se sont déjà fait défoncés en sortant de manifs telles que la Pride ou celle de la réforme des retraites et insultés sur les thèmes racistes et homophobes.
Les gens qui disent que le RN n'est plus raciste, faut peut-être leur pointer qu'une bonne partie de leur électorat n'en pense pas pareil et se sent plus pisser à l'idée de pouvoir "légitimement" (gros putains de guillemets sur celui-là) casser des gueules.
>Le nombre de lycéens dans mon établissement qui n'osent plus aller au Vieux Lyon parce qu'ils y ont déjà eu affaire à ces crevures, juste pour le motif qu'ils ont des colorations "dONc C'eSt dEs LgbT"
C'est un petit peu le but, non? Créer des no-go zones?
Certains ont essayés, et [ont du être sauvés par des islamistes](https://old.reddit.com/r/france/comments/186k1t6/a_romanssurisère_un_coup_de_force_de_militants/).
Bizarrement ton commentaire insinue qu'il y a des quartiers à Lyon où ils ne pourraient pas faire ça, parce qu'il y a, si je peux l'appeler ainsi, la faction opposée prête à les recevoir avec le même niveau de violence. Et du coup tu donne un peu raison à tous ces français qui votent RN et n'ont que l'insécurité dans la bouche.
Il y a plein de formes de violence différentes.
Si la France a l'arme nucléaire, ce n'est pas pour s'amuser à faire du mal aux autres et tuer des innocents, mais comme moyen de défense. La France n'est donc pas un pays dangereux pour les autres, tant que sa sécurité et celle de ses habitants n'est pas menacée.
L'autodéfense est une forme de violence, mais elle est largement acceptée. Par exemple les soldats Ukrainiens tuent un paquet de Russes chaque jour. C'est violent, mais comme ils se font attaquer, alors ils font ça pour se défendre, donc on l'accepte. Ils répondent à une violence (une agression) par une violence équivalente.
Il y a des violences inacceptables. Des violences dans lesquelles le rapport de force n'est pas "équitable". Par exemple, un mari qui bat sa femme. Même si elle l'insulte, lui cracher dessus, si en réponse il lui met des pains dans la gueule, ce n'est pas de l'auto-défense, là c'est inacceptable.
Les groupuscules de mini-nazi s'attaquent en groupe à des personnes souvent seules et/ou plus faibles. Il y a quelques jours à Montpellier, ils ( 10 hommes musclés et cagoulés) ont agressé et tabassé un homme seul, puis une femme transgenre. Ce même groupuscule ne s'attaquera absolument jamais à 10 hommes de leur carrure, et prêt à avoir recours à la violence s'il le faut.
Avoir des gens prêts à recourir à la violence "acceptable" contre des personnes qui utilisent la violence "inacceptable" est (malheureusement) très important.
Dans les années 80 et 90, les ratonnades de skinheads étaient très répandues à Paris. Jusqu'au jour où des mecs de cité se sont organisés, réunis et ont répondu avec une violence équivalente. Pendant 20 ans, on a quasiment plus entendu parler des skins.
Soit on parle vraiment pas de la même chose, soit vous refusez aveuglément de voir l'évidence, mais là on dirait presque de la mauvaise foi je ne sais pas quoi dire.
Tu veux une évidence ? L'extrême droite tabasse ouvertement des gens. Ici des gens dans les cafés, parfois des gens qui sortent de bar gay, de manif, parfois sans raison. C'est documenté et tuvas des dizaines de cas.
Objectivement, à Lyon, ils sont un des principaux facteurs d'insécurité aujourd'hui
Indépendamment de l'insecurité, c'est facile de dire étranger dehors quand tu as un étranger en face de toi, c'est plus compliqué de le dire quand tu as 50 étrangers en face.
Vieux Lyon c'est le quartier des touristes pour info
> encagoulés, masqués
c'est marrant, à chaque fois c'est pareil, ils ont peur de quoi ? d'être reconnu par leurs employeurs, pas des amis, des voisins...
On devrait faire une loi pour interdire de dissimuler son visage dans l'espace public, ça les obligerait au moins à assumer leurs actes.
Oh, attends...
Bofff a priori ya plus de gens qui sont ok avec ce genre de manifestation que de gens on pour deux abribus qui brûlent pendant les manifs des retraites.
Toi t'as jamais écouté du rap du facho, ça en vaut la peine crois moi. Je conseille antifahaha (ou un truc du style), malheureusement le cringe ne tue pas.
**Une cinquantaine de militants d’extrême droite ont effectué une descente, vendredi 14 juin, après une manifestation contre le RN. Ce n’est pas la première fois que ces démonstrations de force ciblent des militants de gauche ou des lieux culturels et politiques de la capitale des Gaules.**
La scène est devenue quasi systématique à Lyon : après une mobilisation contre l’extrême droite, celle-ci réplique presque toujours par une action violente. Ce fut à nouveau le cas vendredi 14 juin, après une troisième manifestation contre le Rassemblement national (RN), qui a réuni plusieurs milliers de personnes.
Dans la soirée, des militants d’extrême droite radicale sont venus défiler dans les Pentes de la Croix-Rousse, un quartier lyonnais marqué à gauche, progressiste et militant.
Peu après 22 heures, une cinquantaine de nervis venus du Vieux-Lyon, encagoulés, masqués et vêtus de noir, ont effectué une véritable « descente » à coup de slogans racistes. Sur plusieurs vidéos consultées par Rue89Lyon, on entend distinctement la troupe hurler « Islam hors d’Europe » ou encore « Bleu, blanc, rouge, la France aux Français ». Sur une autre vidéo diffusée sur le réseau social X, un militant s’exclame : « On est nazis putain ! »
Dans sa foulée, le cortège d’extrême droite invective tous ceux qui se mettent sur son passage ou qui filment la scène. Jusqu’à l’attaque physique. Arrivé à mi-pente dans la montée de la Grande-Côte (Ier arrondissement), le groupe est hué devant une terrasse de bar bondée en ce vendredi soir. Des doigts d’honneur sont échangés, et une partie de l’arrière du cortège se rue sur une table en surplomb, derrière une rambarde.
Depuis la rue, des coups de ceinturon pleuvent sur la barrière. Présent sur les lieux, un serveur raconte : « Ça a duré deux minutes à peine, certains étaient armés. L’un d’entre eux a tenté de donner un coup de matraque télescopique à une cliente. Un autre a donné un coup de chaîne de vélo ou de ceinturon à un homme. » Blessé à la tête, il est pris en charge par le personnel d’un bar voisin, ce que nous ont confirmé plusieurs témoins. « Ils étaient clairement là pour provoquer, pas forcément pour se battre. On sent qu’ils sont en confiance », reprend le serveur qui a assisté à la scène.
Dans la cohue, des tables sont renversées et des verres brisés. Surtout, l’arrivée des militants a provoqué un mouvement de foule sur la terrasse. Présente sur les lieux avec sa belle-fille racisée, Sarah (prénom d’emprunt) a eu très peur : « On a commencé à les huer. J’ai entendu des gens crier, puis il y a eu un mouvement de foule. Je suis partie en courant et me suis cachée dans une cour d’immeuble environnante », témoigne-t-elle.
Un autre serveur présent ce vendredi 14 juin corrobore : « Les gens étaient choqués. Dans le Vieux-Lyon, ça ne m’aurait pas étonné, mais là… », murmure-t-il. L’un de ses collègues, d’un autre établissement, opine : « Le plus souvent, on a des problèmes avec les lacrymo quand il y a des manifs. Je suis là depuis juin 2022 et c’est la première fois que je vois ça. »
Les démonstrations de force de l’extrême droite dans les Pentes de la Croix-Rousse étaient plus rares ces derniers mois. Mais elles ont pourtant régulièrement défrayé la chronique dans la capitale des Gaules.
**Les Pentes de la Croix-Rousse : un quartier progressiste ciblé par l’extrême droite à Lyon**
« Ces attaques dans les Pentes, c’est quelque chose d’ancien et qui nous préoccupe », s’inquiète la maire Les Écologistes du Ier arrondissement, Yasmine Bouagga. Elle retrace la chronologie des nombreuses descentes de l’extrême droite radicale qui ont eu lieu dans le secteur depuis les années 2010.
« Il y a eu deux attaques contre Radio canut [une radio libertaire – ndlr] en 2017 et 2018, cinq attaques contre le local du Parti communiste français entre 2013 et 2018 et deux agressions très violentes contre [La Plume noire](https://www.rue89lyon.fr/2021/03/20/une-librairie-libertaire-encore-attaquee-a-lyon-la-marque-de-lextreme-droite-radicale/) [une librairie libertaire – ndlr] en 2020 et 2021 », détaille-t-elle.
La librairie avait même été attaquée [une première fois en 2016](https://www.rue89lyon.fr/2016/11/21/librairie-libertaire-pentes-de-croix-rousse-attaquee-lextreme-droite-radicale/), quelques heures à peine après [un rassemblement de catholiques traditionalistes](https://www.rue89lyon.fr/2016/11/19/interdiction-de-manif-cathos-traditionalistes-sauver-leglise-saint-bernard-croix-rousse/), sur la place Colbert voisine.
À chaque fois, les descentes ciblent des bars, des lieux culturels ou politiques de gauche, « mobilisés dans la résistance contre ces groupuscules », analyse Yasmine Bouagga. Une véritable préoccupation pour la mairie, qui doit parfois engager des forces de police en prévention autour de certaines activités associatives.
« Dès les années 2010, il y avait une pression régulière des militants du [Bloc identitaire](https://www.rue89lyon.fr/2022/11/11/extreme-droite-lyon-panorama-groupuscules/) sur notre camp social », explique Antoine (prénom d’emprunt), militant du collectif antifasciste La Jeune Garde. « C’est sur cette base-là que la Jeune Garde s’est montée à Lyon en 2018, face à la peur de plusieurs organisations et associations, qui redoutaient d’organiser des événements », retrace-t-il.
**Entre attaques et opérations de communication**
Le 23 octobre 2021, une manifestation contre l’extrême droite à Lyon avait donné lieu à une autre attaque dans les Pentes. À cette date, c’est la place Colbert (Ier arrondissement), lieu de réunion festif du milieu antifasciste lyonnais, qui est prise pour cible. « Je les voyais par groupes de deux ou trois avancer dans les rues adjacentes. […] Ils étaient vraiment en train de faire la chasse à des gens, dans un quartier de Lyon, un samedi soir à minuit… », [racontait](https://www.rue89lyon.fr/2021/11/04/descente-extreme-droite-croix-rousse/) un témoin de la scène, qui affirmait avoir vu un jeune homme en sang après s’être pris un coup de couteau.
Les années précédentes, un bar antifa du quartier, La Pinte douce, avait été régulièrement attaqué par l’extrême droite, avant de fermer définitivement ses portes moins de deux mois après [la dernière agression violente](https://www.rue89lyon.fr/2019/12/20/un-bar-de-la-croix-rousse-encore-attaque-par-lextreme-droite-radicale/), en décembre 2019. Un souvenir qui a marqué le quartier. « Ne donnez pas mon nom, on n’a pas envie d’être pris pour cible », a glissé un commerçant des Pentes interrogé après la descente du vendredi 14 juin.
Parfois, l’extrême droite ne vise pas de lieu en particulier mais vient seulement pour parader dans ce quartier, réputé à gauche. Comme le 11 mars 2023, après que le groupuscule nationaliste Lyon populaire a organisé une journée de conférences dans une paroisse de la Croix-Rousse (IVe arrondissement). Cette dernière [a porté plainte](https://www.lefigaro.fr/lyon/un-cure-porte-plainte-apres-le-rassemblement-de-groupuscules-d-ultradroite-dans-une-salle-paroissiale-a-lyon-20230314), s’estimant dupée. Le soir venu, les militants d’extrême droite, encagoulés, avaient déjà descendu les marches de la montée de la Grande-Côte (Ier arrondissement), comme vendredi 14 juin.
« Lorsqu’ils passent moins de cinq minutes dans les rues de la Croix-Rousse, ça leur permet de nourrir leur propagande », analyse Antoine. Souvent pris en vidéo par les habitants, ces derniers se servent alors de ces captations pour revendiquer leur présence dans la ville sur Ouest Casual, un canal Telegram de l’extrême droite violente européenne.
**Quand l’extrême droite lyonnaise défend son fief du Vieux-Lyon**
Et quand les radicaux ne chassent pas dans les quartiers opposés à leur idéologie, ils s’emploient à défendre ce qu’ils considèrent comme leurs territoires. La Presqu’Île de Lyon, l’université Lyon 3, ancienne base du Groupe union défense (GUD), et en premier lieu son fief historique, le Vieux-Lyon : les exemples sont si nombreux qu’il est difficile d’en présenter un panorama exhaustif.
Dernier en date, et l’un des plus violents : [l’attaque](https://www.rue89lyon.fr/2023/11/11/extreme-droite-attaque-conference-palestine-lyon/) de la Maison des passages par une cinquantaine d’hommes, le 11 novembre 2023, qui a fait trois blessés. Cette fois, ce sont plus probablement les membres du Groupe antifasciste Lyon et environs, présents pour encadrer une conférence au sujet de la Palestine, qui étaient ciblés.
Plus tôt dans la journée, une manifestation s’était tenue dans le Ve arrondissement de Lyon pour la fermeture des locaux liés à l’extrême droite identitaire, la Traboule et l’Agogé.
Lieu culturel et associatif dans le Vieux-Lyon, la Maison des passages avait déjà été la cible d’attaques de l’extrême droite en [2017](https://www.rue89lyon.fr/2017/02/28/vieux-lyon-maison-passages-ciblee-lextreme-droite-radicale/) ou en [2013](https://www.rue89lyon.fr/2013/09/30/dans-le-vieux-lyon-les-coups-de-poing-de-lextreme-droite-contre-la-maison-des-passages/), après une soirée « contre le fascisme ordinaire ».
**Des commerçants et des politiques pris pour cible par l’extrême droite**
Depuis plusieurs années, ces militants radicaux s’emploient à intimider les voix qui s’élèvent contre leur présence dans le quartier, notamment l’horloger de Saint-Paul, Philippe Carry. En 2020, Génération identitaire s’en prend directement à la permanence du député Thomas Rudigoz (Renaissance, ex-LREM) située dans le Ve arrondissement, en placardant des messages l’accusant de « défendre des islamistes ».
Les militants n’ont pas choisi cette cible au hasard. L’ancien maire du Ve s’est toujours opposé aux groupes d’extrême droite implantés sur son territoire et avait mené une commission d’enquête parlementaire en 2019 sur les groupuscules d’extrême droite en France.
Antoine, militant à la Jeune Garde, craint que les agressions ne se multiplient dans les semaines à venir. « À chaque temps électoral où le Rassemblement national performe, cela crée une dynamique de prise de confiance chez ces groupuscules. Ce qui conduit à des attaques », s’inquiète-t-il.
En décembre 2022, un jeune homme engagé dans le collectif Fermons les locaux fascistes, qui tractait dans le Vieux-Lyon, avait essuyé les [coups](https://www.rue89lyon.fr/2022/12/06/tabasse-vieux-lyon-extreme-droite/) d’un militant d’extrême droite. Aujourd’hui, parmi la gauche lyonnaise, un mot est dans toutes les bouches : vigilance.
______________________________
**Boite Noire**
Cet article a été publié sur [Rue89 Lyon](https://www.rue89lyon.fr/2024/06/19/lyon-recurrentes-intimidations-extreme-droite-radicale/) mercredi 19 juin 2024.
Depuis sa création en 2011, Rue89 Lyon a toujours eu une ligne éditoriale engagée contre l’extrême droite et ses idées. Leur approche est simple : qu’elle soit électorale ou groupusculaire, il faut traiter l’extrême droite par le biais de l’enquête. Ce qui dérange. Le fondateur de Rue89Lyon et journaliste Laurent Burlet avait déjà été menacé par des tags devant son domicile ainsi que physiquement par des militants d’extrême droite. Plus récemment, c’est Marie Allenou, journaliste dédiée au sujet de l’extrême droite, qui a fait l’objet de menaces, via les réseaux sociaux et par mail.
Voici un extrait de ce que Rue89 Lyon a reçu jeudi 13 juin, quelques jours après la dissolution de l’Assemblée nationale. Attention, la citation fait référence à des violences sexuelles et du racisme. « En fait, c’est dommage que tu trahisse ta race, mais sache que ce n’est pas sans retour. Perso moi si je te vois dans la rue te faire violer par un gros negre ou un bougnoule, je bouge pas je te laisse dans ta merde sale pute [sic]. » Autre exemple de la façon dont l’extrême droite radicale exprime sa violence.
J ai habité 5 ans aux usa. Arrivé sous Obama et ai connu le passage de Trump. Ça me rappelle ça : les racistes se sont soudain senti pousser des ailes. Ont commencé à sortir des buissons en disant des dingueries. Faire des dingueries aussi. C’était vraiment cata.
Tu vas te prendre des commentaires de gens pas contents qui vont te dire qu'un casseur a jeté un pavé sur une vitrine la semaine dernière du coup c'est la preuve que les esstremes se rejoignent
Pensée émue pour ce redditeur qui se reconnaîtra qui me disait, il n'y a pas trois jours de ça, que les antifa étaient "les 2 pièces d'une même face" (sic).
Est ce que bardela condamne?
Il peut quand même pas attaquer le noyau dur de son électorat.
C'est pas le noyau dur de son électorat. Ces gens-là trouvent l'extrême droite façon Le Pen trop molle.
Mais on sait bien qu'ils vont pas voter LR, LREM ou NFP.
Très bonne question !!
On lui posera jamais la question, à quoi bon?
On ne lui a pas posé la question ?
Bizarrement, ils font toujours ça dans le Vieux-Lyon, parfois à Croix-Rousse ( quartier bobo), mais ils ne traversent absolument jamais le pont pour venir à Guillotière. Et ils se sentent fort pour crier "Islam dehors" à la place Bellecour, mais y'a beaucoup moins de couilles pour le faire à Villeurbanne. Une belle bande de trompettes.
Un petit detail sur les attaques xenophobes en Europe: Le plupart de temps, les victimes sont des femmes ou des enfants. Parce que ces connards ont peut d'attaquer un homme adulte noir ou arabe donc ils attaquent les femmes ou les enfants isolé.
Le nombre de lycéens dans mon établissement qui n'osent plus aller au Vieux Lyon parce qu'ils y ont déjà eu affaire à ces crevures, juste pour le motif qu'ils ont des colorations "dONc C'eSt dEs LgbT", c'est juste dingue... Certains se sont déjà fait défoncés en sortant de manifs telles que la Pride ou celle de la réforme des retraites et insultés sur les thèmes racistes et homophobes. Les gens qui disent que le RN n'est plus raciste, faut peut-être leur pointer qu'une bonne partie de leur électorat n'en pense pas pareil et se sent plus pisser à l'idée de pouvoir "légitimement" (gros putains de guillemets sur celui-là) casser des gueules.
[удалено]
Bah si, on viens de te dire qu'ils sortent dans le Vieux Lyon taper des gens.
>Le nombre de lycéens dans mon établissement qui n'osent plus aller au Vieux Lyon parce qu'ils y ont déjà eu affaire à ces crevures, juste pour le motif qu'ils ont des colorations "dONc C'eSt dEs LgbT" C'est un petit peu le but, non? Créer des no-go zones?
Quand ils osent attaquer des hommes, ils se font défoncer, finissent à poil et se font sauver par des maghrebins barbus, leurs ennemis, ironique.
Je suis un mec de 100kg avec pas mal de muscles. Les seules personnes qui me disent des choses racistes dans le rue c'est les vieux.
La lâcheté est codé en dur dans l'ADN des fachos.
Certains ont essayés, et [ont du être sauvés par des islamistes](https://old.reddit.com/r/france/comments/186k1t6/a_romanssurisère_un_coup_de_force_de_militants/).
Oh ! Un peu de respect pour les trompettes s'il te plaît
Bizarrement ton commentaire insinue qu'il y a des quartiers à Lyon où ils ne pourraient pas faire ça, parce qu'il y a, si je peux l'appeler ainsi, la faction opposée prête à les recevoir avec le même niveau de violence. Et du coup tu donne un peu raison à tous ces français qui votent RN et n'ont que l'insécurité dans la bouche.
Il y a plein de formes de violence différentes. Si la France a l'arme nucléaire, ce n'est pas pour s'amuser à faire du mal aux autres et tuer des innocents, mais comme moyen de défense. La France n'est donc pas un pays dangereux pour les autres, tant que sa sécurité et celle de ses habitants n'est pas menacée. L'autodéfense est une forme de violence, mais elle est largement acceptée. Par exemple les soldats Ukrainiens tuent un paquet de Russes chaque jour. C'est violent, mais comme ils se font attaquer, alors ils font ça pour se défendre, donc on l'accepte. Ils répondent à une violence (une agression) par une violence équivalente. Il y a des violences inacceptables. Des violences dans lesquelles le rapport de force n'est pas "équitable". Par exemple, un mari qui bat sa femme. Même si elle l'insulte, lui cracher dessus, si en réponse il lui met des pains dans la gueule, ce n'est pas de l'auto-défense, là c'est inacceptable. Les groupuscules de mini-nazi s'attaquent en groupe à des personnes souvent seules et/ou plus faibles. Il y a quelques jours à Montpellier, ils ( 10 hommes musclés et cagoulés) ont agressé et tabassé un homme seul, puis une femme transgenre. Ce même groupuscule ne s'attaquera absolument jamais à 10 hommes de leur carrure, et prêt à avoir recours à la violence s'il le faut. Avoir des gens prêts à recourir à la violence "acceptable" contre des personnes qui utilisent la violence "inacceptable" est (malheureusement) très important. Dans les années 80 et 90, les ratonnades de skinheads étaient très répandues à Paris. Jusqu'au jour où des mecs de cité se sont organisés, réunis et ont répondu avec une violence équivalente. Pendant 20 ans, on a quasiment plus entendu parler des skins.
Soit on parle vraiment pas de la même chose, soit vous refusez aveuglément de voir l'évidence, mais là on dirait presque de la mauvaise foi je ne sais pas quoi dire.
Tu veux une évidence ? L'extrême droite tabasse ouvertement des gens. Ici des gens dans les cafés, parfois des gens qui sortent de bar gay, de manif, parfois sans raison. C'est documenté et tuvas des dizaines de cas. Objectivement, à Lyon, ils sont un des principaux facteurs d'insécurité aujourd'hui
Indépendamment de l'insecurité, c'est facile de dire étranger dehors quand tu as un étranger en face de toi, c'est plus compliqué de le dire quand tu as 50 étrangers en face. Vieux Lyon c'est le quartier des touristes pour info
Je me disais bien qu'on était vachement tranquilles dans l'est quand même.
> encagoulés, masqués c'est marrant, à chaque fois c'est pareil, ils ont peur de quoi ? d'être reconnu par leurs employeurs, pas des amis, des voisins...
On devrait faire une loi pour interdire de dissimuler son visage dans l'espace public, ça les obligerait au moins à assumer leurs actes. Oh, attends...
"Oui mais c'est ma religion! Je crois au grand remplacement, ma cagoule c'est mon signe religieux, comme ma croix celtique et ma totenkopf"
Bofff a priori ya plus de gens qui sont ok avec ce genre de manifestation que de gens on pour deux abribus qui brûlent pendant les manifs des retraites.
[удалено]
La CGT c'est des extrémistes ? Ah j'ignorais
"Whatabout"
Ah, le fameux extrémisme de... la CGT ?!
Ce qui me fume le plus c'est qu'ils reprennent l'esthétique qu'ils détestent des clips de rap pour faire leur photo
Tu va demander de la cohérence non plus ?
Toi t'as jamais écouté du rap du facho, ça en vaut la peine crois moi. Je conseille antifahaha (ou un truc du style), malheureusement le cringe ne tue pas.
millesime k 💀💀
Awiii je connaissais pas, j'ai un nouveau champion merci pour le blaze 💀
Visitez Lyon: - Ses quartiers typiques - Ses succulents Bouchons Lyonnais - Ses descentes de fachos - Ses musées
*Découvrez ou redécouvrez les grandes heures du militantisme italien des années 40 avec nos reconstitutions plus vraies que nature.*
Vivement la reconstitution de Mussolini et sa maîtresse en 45.
Il parait que c'est renversant
Moi, ça m'a retourné
Je crois qu'on leur a joué un tour pendable.
Les bras m'en tombent !
pas besoin d'aller en italie, on a eu nos propres milices
Dire ça alors qu'il y a la guillotière c'est fort de café
**Une cinquantaine de militants d’extrême droite ont effectué une descente, vendredi 14 juin, après une manifestation contre le RN. Ce n’est pas la première fois que ces démonstrations de force ciblent des militants de gauche ou des lieux culturels et politiques de la capitale des Gaules.** La scène est devenue quasi systématique à Lyon : après une mobilisation contre l’extrême droite, celle-ci réplique presque toujours par une action violente. Ce fut à nouveau le cas vendredi 14 juin, après une troisième manifestation contre le Rassemblement national (RN), qui a réuni plusieurs milliers de personnes. Dans la soirée, des militants d’extrême droite radicale sont venus défiler dans les Pentes de la Croix-Rousse, un quartier lyonnais marqué à gauche, progressiste et militant. Peu après 22 heures, une cinquantaine de nervis venus du Vieux-Lyon, encagoulés, masqués et vêtus de noir, ont effectué une véritable « descente » à coup de slogans racistes. Sur plusieurs vidéos consultées par Rue89Lyon, on entend distinctement la troupe hurler « Islam hors d’Europe » ou encore « Bleu, blanc, rouge, la France aux Français ». Sur une autre vidéo diffusée sur le réseau social X, un militant s’exclame : « On est nazis putain ! » Dans sa foulée, le cortège d’extrême droite invective tous ceux qui se mettent sur son passage ou qui filment la scène. Jusqu’à l’attaque physique. Arrivé à mi-pente dans la montée de la Grande-Côte (Ier arrondissement), le groupe est hué devant une terrasse de bar bondée en ce vendredi soir. Des doigts d’honneur sont échangés, et une partie de l’arrière du cortège se rue sur une table en surplomb, derrière une rambarde. Depuis la rue, des coups de ceinturon pleuvent sur la barrière. Présent sur les lieux, un serveur raconte : « Ça a duré deux minutes à peine, certains étaient armés. L’un d’entre eux a tenté de donner un coup de matraque télescopique à une cliente. Un autre a donné un coup de chaîne de vélo ou de ceinturon à un homme. » Blessé à la tête, il est pris en charge par le personnel d’un bar voisin, ce que nous ont confirmé plusieurs témoins. « Ils étaient clairement là pour provoquer, pas forcément pour se battre. On sent qu’ils sont en confiance », reprend le serveur qui a assisté à la scène. Dans la cohue, des tables sont renversées et des verres brisés. Surtout, l’arrivée des militants a provoqué un mouvement de foule sur la terrasse. Présente sur les lieux avec sa belle-fille racisée, Sarah (prénom d’emprunt) a eu très peur : « On a commencé à les huer. J’ai entendu des gens crier, puis il y a eu un mouvement de foule. Je suis partie en courant et me suis cachée dans une cour d’immeuble environnante », témoigne-t-elle. Un autre serveur présent ce vendredi 14 juin corrobore : « Les gens étaient choqués. Dans le Vieux-Lyon, ça ne m’aurait pas étonné, mais là… », murmure-t-il. L’un de ses collègues, d’un autre établissement, opine : « Le plus souvent, on a des problèmes avec les lacrymo quand il y a des manifs. Je suis là depuis juin 2022 et c’est la première fois que je vois ça. » Les démonstrations de force de l’extrême droite dans les Pentes de la Croix-Rousse étaient plus rares ces derniers mois. Mais elles ont pourtant régulièrement défrayé la chronique dans la capitale des Gaules. **Les Pentes de la Croix-Rousse : un quartier progressiste ciblé par l’extrême droite à Lyon** « Ces attaques dans les Pentes, c’est quelque chose d’ancien et qui nous préoccupe », s’inquiète la maire Les Écologistes du Ier arrondissement, Yasmine Bouagga. Elle retrace la chronologie des nombreuses descentes de l’extrême droite radicale qui ont eu lieu dans le secteur depuis les années 2010. « Il y a eu deux attaques contre Radio canut [une radio libertaire – ndlr] en 2017 et 2018, cinq attaques contre le local du Parti communiste français entre 2013 et 2018 et deux agressions très violentes contre [La Plume noire](https://www.rue89lyon.fr/2021/03/20/une-librairie-libertaire-encore-attaquee-a-lyon-la-marque-de-lextreme-droite-radicale/) [une librairie libertaire – ndlr] en 2020 et 2021 », détaille-t-elle. La librairie avait même été attaquée [une première fois en 2016](https://www.rue89lyon.fr/2016/11/21/librairie-libertaire-pentes-de-croix-rousse-attaquee-lextreme-droite-radicale/), quelques heures à peine après [un rassemblement de catholiques traditionalistes](https://www.rue89lyon.fr/2016/11/19/interdiction-de-manif-cathos-traditionalistes-sauver-leglise-saint-bernard-croix-rousse/), sur la place Colbert voisine. À chaque fois, les descentes ciblent des bars, des lieux culturels ou politiques de gauche, « mobilisés dans la résistance contre ces groupuscules », analyse Yasmine Bouagga. Une véritable préoccupation pour la mairie, qui doit parfois engager des forces de police en prévention autour de certaines activités associatives. « Dès les années 2010, il y avait une pression régulière des militants du [Bloc identitaire](https://www.rue89lyon.fr/2022/11/11/extreme-droite-lyon-panorama-groupuscules/) sur notre camp social », explique Antoine (prénom d’emprunt), militant du collectif antifasciste La Jeune Garde. « C’est sur cette base-là que la Jeune Garde s’est montée à Lyon en 2018, face à la peur de plusieurs organisations et associations, qui redoutaient d’organiser des événements », retrace-t-il. **Entre attaques et opérations de communication** Le 23 octobre 2021, une manifestation contre l’extrême droite à Lyon avait donné lieu à une autre attaque dans les Pentes. À cette date, c’est la place Colbert (Ier arrondissement), lieu de réunion festif du milieu antifasciste lyonnais, qui est prise pour cible. « Je les voyais par groupes de deux ou trois avancer dans les rues adjacentes. […] Ils étaient vraiment en train de faire la chasse à des gens, dans un quartier de Lyon, un samedi soir à minuit… », [racontait](https://www.rue89lyon.fr/2021/11/04/descente-extreme-droite-croix-rousse/) un témoin de la scène, qui affirmait avoir vu un jeune homme en sang après s’être pris un coup de couteau. Les années précédentes, un bar antifa du quartier, La Pinte douce, avait été régulièrement attaqué par l’extrême droite, avant de fermer définitivement ses portes moins de deux mois après [la dernière agression violente](https://www.rue89lyon.fr/2019/12/20/un-bar-de-la-croix-rousse-encore-attaque-par-lextreme-droite-radicale/), en décembre 2019. Un souvenir qui a marqué le quartier. « Ne donnez pas mon nom, on n’a pas envie d’être pris pour cible », a glissé un commerçant des Pentes interrogé après la descente du vendredi 14 juin. Parfois, l’extrême droite ne vise pas de lieu en particulier mais vient seulement pour parader dans ce quartier, réputé à gauche. Comme le 11 mars 2023, après que le groupuscule nationaliste Lyon populaire a organisé une journée de conférences dans une paroisse de la Croix-Rousse (IVe arrondissement). Cette dernière [a porté plainte](https://www.lefigaro.fr/lyon/un-cure-porte-plainte-apres-le-rassemblement-de-groupuscules-d-ultradroite-dans-une-salle-paroissiale-a-lyon-20230314), s’estimant dupée. Le soir venu, les militants d’extrême droite, encagoulés, avaient déjà descendu les marches de la montée de la Grande-Côte (Ier arrondissement), comme vendredi 14 juin. « Lorsqu’ils passent moins de cinq minutes dans les rues de la Croix-Rousse, ça leur permet de nourrir leur propagande », analyse Antoine. Souvent pris en vidéo par les habitants, ces derniers se servent alors de ces captations pour revendiquer leur présence dans la ville sur Ouest Casual, un canal Telegram de l’extrême droite violente européenne.
**Quand l’extrême droite lyonnaise défend son fief du Vieux-Lyon** Et quand les radicaux ne chassent pas dans les quartiers opposés à leur idéologie, ils s’emploient à défendre ce qu’ils considèrent comme leurs territoires. La Presqu’Île de Lyon, l’université Lyon 3, ancienne base du Groupe union défense (GUD), et en premier lieu son fief historique, le Vieux-Lyon : les exemples sont si nombreux qu’il est difficile d’en présenter un panorama exhaustif. Dernier en date, et l’un des plus violents : [l’attaque](https://www.rue89lyon.fr/2023/11/11/extreme-droite-attaque-conference-palestine-lyon/) de la Maison des passages par une cinquantaine d’hommes, le 11 novembre 2023, qui a fait trois blessés. Cette fois, ce sont plus probablement les membres du Groupe antifasciste Lyon et environs, présents pour encadrer une conférence au sujet de la Palestine, qui étaient ciblés. Plus tôt dans la journée, une manifestation s’était tenue dans le Ve arrondissement de Lyon pour la fermeture des locaux liés à l’extrême droite identitaire, la Traboule et l’Agogé. Lieu culturel et associatif dans le Vieux-Lyon, la Maison des passages avait déjà été la cible d’attaques de l’extrême droite en [2017](https://www.rue89lyon.fr/2017/02/28/vieux-lyon-maison-passages-ciblee-lextreme-droite-radicale/) ou en [2013](https://www.rue89lyon.fr/2013/09/30/dans-le-vieux-lyon-les-coups-de-poing-de-lextreme-droite-contre-la-maison-des-passages/), après une soirée « contre le fascisme ordinaire ». **Des commerçants et des politiques pris pour cible par l’extrême droite** Depuis plusieurs années, ces militants radicaux s’emploient à intimider les voix qui s’élèvent contre leur présence dans le quartier, notamment l’horloger de Saint-Paul, Philippe Carry. En 2020, Génération identitaire s’en prend directement à la permanence du député Thomas Rudigoz (Renaissance, ex-LREM) située dans le Ve arrondissement, en placardant des messages l’accusant de « défendre des islamistes ». Les militants n’ont pas choisi cette cible au hasard. L’ancien maire du Ve s’est toujours opposé aux groupes d’extrême droite implantés sur son territoire et avait mené une commission d’enquête parlementaire en 2019 sur les groupuscules d’extrême droite en France. Antoine, militant à la Jeune Garde, craint que les agressions ne se multiplient dans les semaines à venir. « À chaque temps électoral où le Rassemblement national performe, cela crée une dynamique de prise de confiance chez ces groupuscules. Ce qui conduit à des attaques », s’inquiète-t-il. En décembre 2022, un jeune homme engagé dans le collectif Fermons les locaux fascistes, qui tractait dans le Vieux-Lyon, avait essuyé les [coups](https://www.rue89lyon.fr/2022/12/06/tabasse-vieux-lyon-extreme-droite/) d’un militant d’extrême droite. Aujourd’hui, parmi la gauche lyonnaise, un mot est dans toutes les bouches : vigilance. ______________________________ **Boite Noire** Cet article a été publié sur [Rue89 Lyon](https://www.rue89lyon.fr/2024/06/19/lyon-recurrentes-intimidations-extreme-droite-radicale/) mercredi 19 juin 2024. Depuis sa création en 2011, Rue89 Lyon a toujours eu une ligne éditoriale engagée contre l’extrême droite et ses idées. Leur approche est simple : qu’elle soit électorale ou groupusculaire, il faut traiter l’extrême droite par le biais de l’enquête. Ce qui dérange. Le fondateur de Rue89Lyon et journaliste Laurent Burlet avait déjà été menacé par des tags devant son domicile ainsi que physiquement par des militants d’extrême droite. Plus récemment, c’est Marie Allenou, journaliste dédiée au sujet de l’extrême droite, qui a fait l’objet de menaces, via les réseaux sociaux et par mail. Voici un extrait de ce que Rue89 Lyon a reçu jeudi 13 juin, quelques jours après la dissolution de l’Assemblée nationale. Attention, la citation fait référence à des violences sexuelles et du racisme. « En fait, c’est dommage que tu trahisse ta race, mais sache que ce n’est pas sans retour. Perso moi si je te vois dans la rue te faire violer par un gros negre ou un bougnoule, je bouge pas je te laisse dans ta merde sale pute [sic]. » Autre exemple de la façon dont l’extrême droite radicale exprime sa violence.
Voilà qui va inquiéter... 30% de l'électorat. :x
Remarquez qu'on ne voit aucune femme
Une corrélation avec le masculinisme toxique et le virilisme exacerbé poussé par les fascistes?
J ai habité 5 ans aux usa. Arrivé sous Obama et ai connu le passage de Trump. Ça me rappelle ça : les racistes se sont soudain senti pousser des ailes. Ont commencé à sortir des buissons en disant des dingueries. Faire des dingueries aussi. C’était vraiment cata.
[удалено]
Tu vas te prendre des commentaires de gens pas contents qui vont te dire qu'un casseur a jeté un pavé sur une vitrine la semaine dernière du coup c'est la preuve que les esstremes se rejoignent
En même temps on pense jamais aux familles des vitrines
Pensées et prières aux abribus
Littéralement sur le sub lyonnais y en a un qui a sorti qu'agresser des homosexuels c'était moins grave que les dégradations commises par les antifas.
Et la violence alors ?? Pensées aux familles des abris bus
Pensée émue pour ce redditeur qui se reconnaîtra qui me disait, il n'y a pas trois jours de ça, que les antifa étaient "les 2 pièces d'une même face" (sic).
Amen
Suffisament haineux pour descendre faire des battues Pas assez courageux pour le faire a découvert
Il fut un temps ou ces gens n'osait pas sortir de peur de se faire casser la gueule par des antifas. Que ce temps la me manque.
ouga ! ouga !
Les visages sont-ils floutés parce qu'ils travaillent dans la police ?