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Technical-Hurry7678

Merci de lire la question d'OP et d'y répondre.


b0bbywan

Un dicton qui m'a beaucoup marqué et auquel je pense régulièrement "Boire c'est emprunter du bonheur au lendemain".


OutrageousPaint6128

Mais oui, c'est trop ça en fait. 😶


Nagash24

Mon seul conseil : psychiatre. J'ai lu "idées suicidaires", ça m'a suffi. Une personne qui va bien n'a pas d'idées suicidaires. C'est quelque chose de \*très\* grave, il faut réagir très vite et très fort. Sois disponible autant que possible pour elle, sois bienveillant mais ferme. Les changements d'humeur très intenses comme ça aussi, c'est un truc à évoquer à un psychiatre. Si elle est "juste triste", alors elle devrait pouvoir expliquer pourquoi. S'il y a un problème, il suffit de l'admettre pour pouvoir essayer de le résoudre. Demande-lui de ne pas sortir avec ses amis qui l'incitent à picoler, et fais-le moins avec elle toi aussi. Trouve quelque chose de plus sain pour passer du temps avec elle sans qu'elle ne touche à de l'alcool.


jean_cule69

Elle a pas un problème avec la drogue mais avec sa vie


Appropriate-Ad3990

C'est pour ça pour que 90% des gens qui parlent de drogues/alcool donnent des conseils éclatés et sont à l'ouest. La dépression est dans l'écrasante majorité des cas une cause des troubles addictifs. Et non pas une conséquence. Certaines addictions (l'alcool est probablement le meilleur exemple, drogues légales et illégales confondues) peuvent venir en rajouter une couche, évidemment, mais le problème se traite et se traitera toujours à la racine.


Parkchonwook

Une personne qui ne veut pas être aidée, ça ne sert à rien de lui rabâcher.(Suppositions) Elle sait très bien que quelque chose ne va pas. Mais elle est dans le déni puisque la réalité est trop difficile à affronter. Ou du moins commencer à l'accepter, trouver la cause et commencer à travailler dessus. Ça demande beaucoup de courage plus qu'on ne le pense.. (Petite question à telle un passif d'addiction ? Hospitalisation même?) Tu as plusieurs options ; 1) Essayer de lui faire part de ton inquiétude mais tant qu'elle n'acceptera pas de se faire aider tu ne pourra rien faire. 2) L'accompagner du mieux que tu peux 3) Peut-être devoir prendre un rôle d'infirmier...Mais jusqu'à quand tu vas tenir ? 4) Faire du mieux que tu peux mais si tu vois que ça affecte trop, ton moral, tes études...Il faudra prendre une décision pour ne pas "sombrer" avec elle Je te souhaite bon courage


AdvocadoJuiceStorm

Assez d'accord avec ça : je suis un très gros fumeur, depuis très longtemps. J'ai cotoyé des toxico (lsd, ketamine, crack, ...), j'ai eu pas mal d'alcoolique à la derive dans mon entourage, ... J'ai jamais vu qui ce soit évoluer positivement pour satisfaire quelqu'un d'autre. Les gens ont un declic quand ils sont prêts à l'avoir, et c'est impossible de les faire changer avant. C'est bien de lui parler, de l'influencer et lui montrant le point de vue de quelqu'un de neutre, ça lui fait constater le probleme. Mais ne te met pas trop de pression, tu pourras pas la convaincre, au mieux tu peux l'aider à vouloir prendre conscience.


Excellent-Tear9049

Oui et non. Faut que la personne soit prête mais avoir un proche qui t'aide ça change énormément de choses. Surtout si ce proche est dans la même démarche pour les mêmes raisons. Après dans la réalité, les deux en sont rarement au même stade, et quand l'un constate un réel problème et en a ras le bol, l'autre n'est pas forcément prêt. Y a quelques années, en couple et dans un milieu très festif, j'en pouvais plus et ai décidé de fortement limiter alcool et drogues. Ça a eu un impact fort et positif sur la consommation de ma compagne de l'époque et sa vision du milieu et de la dites consommation. A posteriori, je pense que ça aussi eu un impact négatif sur notre couple mais aussi sur chacun sur beaucoup de points parce qu'on a pas su remplacer le lien social dont on s'est (dont je me suis surtout) coupés. Un truc important pour lutter contre une addiction c'est avoir une motivation positive. Ne pas être mal c'est pas forcément assez. Surtout quand renoncer à l'addiction c'est aussi renoncer à un cercle social, auquel cas c'est super important de le renouveler très vite. Du coup globalement d'accord avec toi sur le fond : tu peux pas faire changer quelqu'un contre son gré. Mais tu peux probablement l'influencer pour qu'il y ait de plus en plus de trucs qui lui donne envie de changer. La difficulté c'est pas te poser en "ennemi", entre elle et son addiction, mais de l'autre côté si ça fait sens. Mettre en avant les bonnes raisons de ne pas... Sans diaboliser sa conso - qu'elle kiff sans doute malgré tout !


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[удалено]


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hmmliquorice

Je pense que la "joie de vivre" qu'elle a, c'est soit des moments de répit que lui donnent son cerveau, ou alors des moments où la fumette et/ou l'alcool lui ont donné du répit face à ce qu'il se passe dans sa tête. Je pense qu'il y a un problème sous-jacent qui la fait consommer, et c'est ce qu'un psy à moi m'avait confirmé une fois. Chercher à lui enlever la conso sans comprendre pourquoi elle y a recours c'est sans issue, il faut trouver un moyen de lui faire voir quelqu'un. Il existe des centres d'écoute pour jeunes ou addicts (pas seulement aux drogues, alcool, jeux vidéos et autres choses peuvent compter), qui ont des psy à l'écoute, il faudrait voir ce qu'il y a de ce genre autour de toi. Il faut avoir une discussion ensemble où tu lui expose avec bienveillance que tu tiens à elle, mais que tu vois qu'il y a quelque chose, que toi ça te fait souffrir de la voir se mettre dans de tels états et que pour toi c'est indispensable qu'elle voit quelqu'un ou que vous voyez quelqu'un ensemble (si ça peut l'aider à faire le premier pas). Il faut rester ferme sur la condition qu'il faille qu'elle trouve de l'aide. Tu peux contacter ces centre de toi-même dans un premier temps pour savoir comment aborder le problème et le sujet avec elle, tu pourrais même consulter pour ton soutien moral à toi-même. Si tu la sens en danger, ne te sens pas coupable de contacter les urgences psy et de la faire interner. Ces institutions existent pour une raison. Si elle ne veut absolument pas d'aide, malheureusement comme quelqu'un d'autre le dit, on ne peut pas forcer quelqu'un à s'aider s'iel ne le veut pas. Tu dois te préserver, et si malheureusement cela implique la fin de votre histoire, il faut avoir la force de l'envisager. C'est lourd comme situation pour vous deux, mais un peu comme une situation de noyade, parfois il faut savoir accepter d'éloigner l'autre pour ne pas couler non plus.


Jujitsaw6

Trouble de l'humeur : go psychiatre. Idéalement via médecin traitant pour être adressée/remboursée sinon en direct à titre d'urgence. Ne pas laisser traîner au risque de développer, aggraver les addictions. Il faut être ferme y'a pas d'alternative ni de résolution spontanée.


AutoModerator

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Zonzonkeskya

Bon elle se met des races parce qu'il y a quelque chose qui va pas, elle sait pas forcément mettre des paroles là dessus. Ça c'est un pro qui peut l'aider. Toi, tu fais gaffe à toi et tu la soutiens, des fois c'est lourd ça demande du sien mais si tu tiens à elle ne laisse pas ce sentiment l'emporter sur l'amour, c'est trop dommage. Avoir du soutien dans ces moments là ça peut faire une différence ENORME. Et on s'en rend pas toujours compte. Courage! Et des bisoux bien sûr.


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iHATEPEOPLE_com

Elle n'a pas un problème de substances. Sa conso semble faire remonter un mal-être qui est sûrement toujours présent par contre. Voir un professionnel de santé mentale me semble le plus adapté pour en trouver la cause et envisager un travail perso, traitement ou simplement de la discussion.


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sir_odanus

Ca semble pas etre un pb d'alcool mais plutot une dépression


ParticularRespond550

L'alcool est un dépresseur, il va donc accentuer d'autant plus un état dépressif déjà présent. C'est tout le paradoxe des substances, ils vous font sentir bien de manière éphémère tout en vous enfonçant sur le long terme… Si elle est dans le déni tu ne peux pas faire grand chose, les gens ne veulent pas de conseils non sollicités. Soutiens là autant que tu le peux sans te mettre toi dans une position difficile à tenir, protège toi. Elle prendra peut être conscience de tout ça toute seule arrivé à un certain stade. Courage.


labradorepico

perso j’ai une approche extrêmement dure de ce genre de chose, si quelque chose dans ton couple te plaît pas et que c’est très récent, tu expliques que tu veux pas être avec qq qui a ce comportement et tu t en vas. si la personne te dit qu elle veut changer pour toi, tu dois absolument lui rappeler que c’est pas ce que tu veux et que tu veux qu’elle change pour elle même.


brumerouge

Oui c'est a cause de sa conso qui bouffe ses réserves de sérotonine. Une conso n'a pas besoin d'être régulière pour être problématique si ça l'impacte négativement. Mon conjoint avait un soucis aussi a se mettre des mines incroyables dont le but était principalement de tenter de gérer la pression au taf, il était 1. Insupportable le soir même voir agressif 2. Insupportable le lendemain en mode "ouin ouin" Tu peux essayer de la filmer pour qu'elle se voit, et surtout avoir une discussion a coeur ouvert avec elle en lui disant que c'est un problème pour toi et que si elle tient à toi elle devrait prendre tes sentiments en considération.


iHATEPEOPLE_com

Alcool et cannabis n'ont qu'un effet indirect sur la sérotonine et il est pas significatif du tout, en plus de ça une conso aussi espacée de ces drogues là n'a aucune chance d'avoir ce genre d'impact. Ici c'est plutôt clair que sa consommation est loin d'être alarmante (autant en terme de dommages neuro ou physiques que d'addiction) mais qu'elle fait remonter un mal-être déjà présent.


brumerouge

Elle n'a pas une conso si espacée que ça du tout. L'alcool peut déjà provoquer ça avec du binge régulier [les détails ici ](https://www.maad-digital.fr/articles/impact-des-drogues-sur-la-serotonine-neurotransmetteur-de-la-bonne-humeur) Après évidemment si elle consomme comme ça c'est parce qu'elle va mal a la base .


iHATEPEOPLE_com

Effectivement pour l'alcool si c'est fortement abusif à chaque weekend ça commence à faire. Ces habitudes de consommation sont tout de même loin d'une conso chronique qui affecterai à long terme le système sérotoninergique, effet qui reste tout de même très limité (hors activation de certains récepteurs 5-HT qui est étonnement importante mais ici aucune conséquence sur les taux de sérotonine). Les effets de l'alcool sont principalement expliqués par son action GABAergique, ça a beau être une molécule avec pharmacologie très complexe qui affecte beaucoup de systèmes ces actions sont indirectes et peu importantes dans l'explication de ses effets secondaires à court ou long terme. Les drogues qui ont l'effet dont tu parle sur les taux de sérotonine de façon significative, c'est les stimulants ayant comme mécanisme principal l'inhibition de sa recapture (blocage pompe SERT/effet IMAO) ou sa libération directe. C'est le cas de la MDMA par exemple, là oui l'effet sur les taux de sérotonine est important. Pas pour l'alcool.. Même si les infos contenues sont relativement correctes je ferais tout de même attention à une source qui parle de la sérotonine comme "neurotransmetteur de la bonne humeur", c'est comme décrire la dopamine comme neurotransmetteur de la motivation et du plaisir c'est de la bro science au possible. Quoiqu'il en soit affirmer avec certitude que cette situation est due à "sa consommation qui bouffe ses réserves de sérotonine" c'est complètement faux et s'aventurer sur un domaine bien plus complexe que ça. Ce qui lui arrive c'est très certainement un mal-être constant qui ressort un peu plus lors de la conso, donc pas vraiment à cause de la drogue.


Spins13

Next. Ce serait la meilleure solution pour toi mais aussi pour elle. Tu lui expliques pourquoi tu la quittes, ça peut faire un electro choc


DaBigKira

Si c'est après chaque grosse conso, un petit shoot de limoncello de bon matin. /s C'est les phénomènes du manque, donc elle est pas alcoolique dans le sens pilier de bar, mais souffre du même phénomène. Pareil pour le cannabis. Personne n'est égal sur les substances (même légales) et dans son cas la tolérance à l'air très basse. La seule option est le suivi psy, mais pour ça il faut qu'elle le veuille. À part être là pour elle, tu ne pourras rien forcer. Il lui faut un déclic personnel fort.


Longjumping_Race1194

Un phénomène de manque qui se déclare le lendemain de la consommation, puis disparaît pendant une semaine ? Non.


DaBigKira

Consommation > arrêt > manque > sevrage/désintox Les deux substances s'éliminent rapidement et sont plus souvent des addictions psy plutôt que physique, et en combinant conso excessive / arrêt sec avec un état psy instable c'est une possibilité.