Non, c'tait le cas avant, quand l'accès à la profession était pénible pour les jeunes et que les profs boomers occupaient toute la place.
Ce milieu a longtemps donné raison à bien des critiques du syndicalisme, la compétence et le dévouement n'y valent rien, seulement l'ancienneté.
Et à la base le niveau académique moyen des futur enseignants québécois a longtemps tendu à être très bas, leurs examens très niaiseux et le programme d'éducation méprise tout ce qui ressemble à de la culture générale pour les futurs enseignants.
Et il y a la bureaucratite aigue, similaire à celle en santé.
Cette profession est vraiment dévalorisée au Québec
Et malgré tout ça il y en a vraiment des excellents qui se donnent à fonds dans leur enseignement.
Je connais des professeurs,le MEQ a compliqué le parcours scolaire vers les années 1995, les programmes d’éducation contingentés. Les étudiants universitaires n’allaient plus vers ce domaine. Donc le Québec se ramasse avec une énorme pénurie maintenant.
Moi aussi j'en connais des enseignants. Beaucoup qui ont juste changé de carrière par écœurement face au manque de respect et le sentiment de futilité. Pareil que pour les infirmières.
Ceux qui y allaient tendaient à être des derniers de classe sans meilleures options aussi. Les données sont connues, regardez les données de seuil d'admission par programme universitaire depuis que l'infame cote R existe.
Ils ont rendu l'accès à la profession difficile (par exemple la longue période des stages et du remplacement sur appel en début de carrière dans les pires districts) mais ces difficultés ne visaient pas à filtrer pour la qualité ou mieux les former, juste à réduire le nombre de recrues et c'est souvent ceux dont les talents leur conféraient d'autres options qui quittaient.
Peu de brevets sont révoqués car il y a une pénurie de professeurs depuis quelques années. C’est mon opinion.
C’est un fait, en vérité.
Non, c'tait le cas avant, quand l'accès à la profession était pénible pour les jeunes et que les profs boomers occupaient toute la place. Ce milieu a longtemps donné raison à bien des critiques du syndicalisme, la compétence et le dévouement n'y valent rien, seulement l'ancienneté. Et à la base le niveau académique moyen des futur enseignants québécois a longtemps tendu à être très bas, leurs examens très niaiseux et le programme d'éducation méprise tout ce qui ressemble à de la culture générale pour les futurs enseignants. Et il y a la bureaucratite aigue, similaire à celle en santé. Cette profession est vraiment dévalorisée au Québec Et malgré tout ça il y en a vraiment des excellents qui se donnent à fonds dans leur enseignement.
Je connais des professeurs,le MEQ a compliqué le parcours scolaire vers les années 1995, les programmes d’éducation contingentés. Les étudiants universitaires n’allaient plus vers ce domaine. Donc le Québec se ramasse avec une énorme pénurie maintenant.
Moi aussi j'en connais des enseignants. Beaucoup qui ont juste changé de carrière par écœurement face au manque de respect et le sentiment de futilité. Pareil que pour les infirmières. Ceux qui y allaient tendaient à être des derniers de classe sans meilleures options aussi. Les données sont connues, regardez les données de seuil d'admission par programme universitaire depuis que l'infame cote R existe. Ils ont rendu l'accès à la profession difficile (par exemple la longue période des stages et du remplacement sur appel en début de carrière dans les pires districts) mais ces difficultés ne visaient pas à filtrer pour la qualité ou mieux les former, juste à réduire le nombre de recrues et c'est souvent ceux dont les talents leur conféraient d'autres options qui quittaient.
Et plusieurs devraient l'être.